avec les oeuvres contemporaines ou anciennes :
amy friend, amélie barnathan, andré petroff, asimis alexiou, blanche odin,brooke didonato,
camille pissarro-bernard, cécile daladier, david schermann, denis pochard, édouard boubat, elisabeth gilbert dragic, enrico garzaro, ernest quost, eugénie bachelot-prévert, florence grundeler, florent lebon,
frédéric léglise, gabriel folli, grégoire fournier, isabelle bonté-hessed2, jean-baptiste marot, jean-jacques grandville, jean-pierre sudre, jean marais, kanaria, lamia ziadé, laurence favory, margaux laurens-neel, memè olivi, michel jocaille, olivié keck, ori gersht, paul guiramand, penni vasama,
philippe baumann, pierre-joseph redouté, rachel marks, raf reyes, shepard fairey, sophie le gendre, tristan hollingsworth, vanina langer, victor garel, vincent olinet, zuae
« merci pour les roses » disait l’académicien jean d’ormesson, avant d’ajouter … « merci pour les épines ». qu’ils soient “rose” ou “épine”, il célébrait chacun des évènements de la vie comme un pas en avant, dans sa quête du bonheur.
c’est cette antienne, dont il rapporte qu'elle éclaira son chemin de vie, qui résonne profondément chez muriel fagnoni et julia gai, les deux curatrices de quand les fleurs nous sauvent, lorsqu’elles l’entendent en plein confinement au printemps 2020.
l’idée de l’événement merci pour les roses, merci pour les épines naît alors des mots de l’homme de lettres, et avec elle, la gageure de s’attaquer à « la reine des fleurs », adorée ou méprisée, précieuse ou fleur de masse, et évidemment galvaudée. ce sont ses « épines » qui vont rendre cette exploration possible et fascinante. quand les fleurs nous sauvent propose ainsi un florilège d’œuvres d’une vingtaine d’artistes, contemporains ou anciens, qui se font l’écho de cette ambivalence.
merci pour les roses, merci pour les épines est ainsi l’occasion pour les artistes présentés, de proposer leur vision de cette fleur à travers une diversité de médiums - peinture, dessin, photographie, céramique, ou textile.
à l’occasion de cette exposition, quand les fleurs nous sauvent, fidèle à son désir d’animer la galerie pour l’ouvrir au plus grand nombre, proposera une expérience autour de l’esprit de la rose animée par isabelle turpin, ainsi que des ateliers conduits par l’artiste grégoire fournier, à base de jus de roses et de pigments végétaux.