si muriel fagnoni n’avait pas fait hec, elle aurait été fleuriste. et d’ailleurs en 2015, elle obtient son cap et passe nombre de ses week-ends à aider dans une jolie boutique du xvème arrondissement, tandis qu’elle est encore publicitaire dans une grande agence française, betc, et y exerce en tant que deputy ceo.
pendant plus de vingt ans, elle nourrit à côté de son activité professionnelle d’autres passions - artistiques celles-ci - qui vont de l’architecture d’intérieur (greta de l’ecole boulle) à la peinture et au dessin dans de nombreux ateliers, en passant par la création d’une startup dans l’univers de la joaillerie, ou même l’apprentissage du soufflage du verre.
début 2019, en écho à cette sensibilité plurielle, elle décide de lancer quand les fleurs nous sauvent - un « objet artistique non identifié » - autour de l’art et des fleurs, et y associe alors julia gai.
pendant 3 ans, elles développent une ligne éditoriale autour du végétal et plus largement de la nature, avec une approche intuitive, et pour ainsi dire iconoclaste, qui préside à la sélection des artistes et des œuvres qu’elles mettent en scène dans des lieux qui les inspirent.
forte de cette expérience, julia gai continue son parcours professionnel en rejoignant Google Art Lab à l’été 2022.
aujourd’hui, muriel fagnoni poursuit le développement de son projet, en lien étroit avec les artistes dont le travail résonne en elle et avec la volonté de se faire surprendre encore et encore par la fleur dans tous ses états.